22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 12:12

 

     Espérons que bientôt, on ne verra plus de cars de touristes au cul placardé de grandes publicités aguicheuses qui se baladent dans tous les lieux touristiques. Du Louvre à l'Opéra, du Pont Alexandre III à Notre-Dame, de la Concorde à la Tour Eiffel, les cars couverts de réclames occupent des emplacements de choix là où la publicité est interdite. De plus, ça ne coûtent pas grand chose grâce à la mobilité des cars. 

 

 

 

 

affiche géante bus Guess

Affiches géantes Guess sur deux cars de touristes place de la Concorde

 

 

 

   Les publicités sur les bus et les cars de touristes sont désormais encadrées: 16m2 sur les bus et les cars, c'est encore beaucoup, et 2m2 sur les voitures. Les cars Disneyland complètement habillés de publicité devraient être aussi interdits. Qu'en sera-t-il des bus étrangers arrivant à Paris? 

 

 

 

bus-affiche-geante-Disneyland-9036.jpgNew generation festival, car Dineyland customisé avenue de l'Opéra

 

 


 

affiche géante car BiothermAffiche géante Biotherm sur un car de touristes près du Louvre et de Saint-Germain l'Auxerrois

 

 

 

affiche géante car Camper

Affiche géante Camper sur un car de touristes sur le pont Alexandre III

 

 

 

affiche géante car Guess

Affiche géante Guess sur un car de touristes près de l'Opéra

 

 

 

 

affiche géante car Grévin

Elisabeth II est à Grévin. Zidane aussi.

Affiche géante musée Grévin sur un car de touristes

 

 

 

       30% de publicité en moins à Paris, c'est ce que le Conseil de Paris a voté le mardi 21 juin 2011 après bien des atermoiements. Les panneaux 3X4 de 12 m2 seront remplacé par des 8 m2. Les publicités lumineuses disparaîtront des toits des immeubles haussmanniens, elles resteront sur les toits terrasses, les publicités sur les bâches de chantier seront limitées à 16m2 etc ... On verra bien si la loi est appliquée.

 

 


affiche Nikon 4X3Affiches Nikon 4X3 à Paris sur un immeuble en travaux

   
    Quant aux publicités géantes sur les monuments historiques, elles sont autorisées par un décret de l'état et la Ville de Paris ne peut rien y faire, sinon souhaiter leur disparition.


 

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