L'homme qui pense au jour où les chevaux ont appris à pleurer nous gratifie d'une autre sentence mi-poétique mi-absurde.
Petites hirondelles mystérieuses qui font leur nid dans tes cheveux
street-art à Beaubourg
Les chevaux en pleurs deviennent des cheveux où nichent les hirondelles. Cette fois-ci, la phrase est moins pessimiste mais l'idée est un peu flippante. Sous le pochoir, les deux motards ont heureusement un casque pour se protéger des oiseaux à la recherche d'un nid.
Petites hirondelles mystérieuses qui font leur nid dans tes cheveux
au bas du mur un collage de THFT et un pochoir de Pol Emploi
street-art
La typographie est la même que sur les autres pochoirs. Ici le texte est encadré de rouge avec des taches de couleur. Il est parfois barré, comme les textes de Jean-Michel Basquiat et de Rero. Pour attirer l'attention ou pour faire douter du sens de la phrase.
Petites hirondelles mystérieuses qui font leur nid dans tes cheveux
street-art à Beaubourg
Notons une fois de plus que les cheminées de Beaubourg sont beaucoup mieux sans graffiti, pochoirs et papiers collés.
Liens sur ce blog:
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Palagret
poésie de la rue
mars 2011