3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 11:23

 

   L'homme qui pense au jour où les chevaux ont appris à pleurer nous gratifie d'une autre sentence mi-poétique mi-absurde.

 

 

street-art THTF hirondelles cheveux 8521Petites hirondelles mystérieuses qui font leur nid dans tes cheveux

street-art à Beaubourg

 

 

    Les chevaux en pleurs deviennent des cheveux où nichent les hirondelles. Cette fois-ci, la phrase est moins pessimiste mais l'idée est un peu flippante. Sous le pochoir, les deux motards ont heureusement un casque pour se protéger des oiseaux à la recherche d'un nid.


 

street-art THTF hirondelles cheveux 8500Petites hirondelles mystérieuses qui font leur nid dans tes cheveux

au bas du mur un collage de THFT et un pochoir de Pol Emploi

street-art 

 

   La typographie est la même que sur les autres pochoirs. Ici le texte est encadré de rouge avec des taches de couleur. Il est parfois barré, comme les textes de Jean-Michel Basquiat et de Rero. Pour attirer l'attention ou pour faire douter du sens de la phrase. 

 

 

street-art-hirondelle-cheveux-8674-copie-1.jpgPetites hirondelles mystérieuses qui font leur nid dans tes cheveux

 street-art à Beaubourg

 

 

   Notons une fois de plus que les cheminées de Beaubourg sont beaucoup mieux sans graffiti, pochoirs et papiers collés.

 

 

 

 

Liens sur ce blog:

Je pense au jour où les chevaux ont appris à pleurer, street-art ?

street-art: Quelques après-midi le crépuscule n'incendie plus tes cheveux

Donne moi ta main pour entrer dans la neige, street-art à Beaubourg

"Si utile dans la préparation de l'agonie", message de la rue


Street-art: les bonshommes de papier du parvis de Beaubourg 

 

 

 

Palagret

poésie de la rue

mars 2011

 

 

 

 

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