17 janvier 2010
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Des libellules de papier se posent de temps en temps sur les murs mais leur durée de vie est aussi courte que dans la vie réelle. Les passants aiment bien leur arracher les ailes.

sticker no war
A côté des vrais insectes et des petits animaux, la ville abrite une faune en papier collé, en sticker et en pochoir: de banales mouches, guêpes, araignées ou coccinelles mais aussi des scorpions et des tarentules peu habitués au climat parisien.

Les pochoirs à la bombe acrylique résistent mieux que les collages. Ils se délavent mais restent en place très longtemps.




Liens sur ce blog:
Une libellule aux ailes arrachées
La savane de la rue de l'Ourcq
Le chevreuil de la rue du Renard
Le chat prisonnier d'Alain Séchas
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