Voici une phrase absurde et poétique collectée du côté de Beaubourg: "Je pense au jour où les chevaux ont appris à pleurer".
"Je pense au jour où les chevaux ont appris à pleurer", pochoir et peinture sur une des cheminées de Beaubourg
"Je pense au jour où les chevaux ont appris à pleurer"
Mimi le Clown mangeant des carottes
pochoirs et peinture
Un message surréaliste à classer dans la catégorie street-art, sous-catégorie pochoir ou dans la catégorie philosophie de la rue? Sans hésitation dans la sous-sous catégorie pessimisme à laquelle la majorité des messages de la rue appartiennent. A part quelques "Je t'aime" les murs nous parlent le plus souvent de tristesse ou de colère.
"Je pense au jour où les chevaux ont appris à pleurer"
pochoir et peinture
"Je pense au jour où les chevaux ont appris à pleurer"
pochoir et peinture
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février 2011